5 Chapitre 4 : Combattre le crime

Depuis que j'ai rejoint les STARS il y a moins d'un mois, mes nuits sont devenues des marathons sans fin. Aucun sommeil ne vient étouffer mes pensées tourbillonnantes, comme si mon esprit refusait de s'abandonner au repos.

Je me suis livré à des séances d'entraînement ininterrompues jusqu'à l'aube, cherchant désespérément à épuiser cette énergie dévorante qui anime mon être. C'est comme si j'avais été imprégné d'une force surhumaine, un pouvoir qui gronde en moi, prêt à exploser à tout moment.

Certains jours, je me surprends à penser que c'est peut-être semblable au sang Uzumaki de Naruto, cette réserve inépuisable d'endurance qui pulse à travers mes veines. Mais les similitudes s'arrêtent là, car ce qui m'habite est plus sombre, plus mystérieux.

Les rues de la ville, même sous le voile obscur de la nuit, ne sont jamais calmes. Les patrouilles régulières n'ont pas suffi à étouffer le murmure constant de la criminalité rampant dans les ombres. C'est là que j'ai décidé d'intervenir, de devenir le gardien silencieux des rues, traquant les criminels qui osent défier la loi et semer le chaos.

J'ai commencé par les petites frappes, les voleurs de pacotille et les junkies à moitié fous qui errent dans les ruelles sombres. Mais rapidement, mes rencontres se sont envenimées, se transformant en affrontements brutaux contre des dealers armés jusqu'aux dents.

Les balles ont sifflé autour de moi, dansant leur macabre ballet, mais elles ne faisaient que me stimuler davantage, alimentant l'adrénaline qui pulsait dans mes veines.

Certains sont tombés sous mes coups, leurs corps gisant dans les ténèbres, muets témoins de ma croisade solitaire. Je les dépouillais de leurs maigres possessions, de leur argent souillé par le crime, avant de livrer anonymement les drogues saisies au commissariat.

Une ombre parmi les ombres, un justicier sans visage qui glisse dans les rues comme une ombre, laissant derrière lui la peur et le mystère.

Pour éviter d'éveiller les soupçons, j'ai pris soin de dissimuler mon visage derrière une cagoule sombre, cachant mon identité à ceux qui pourraient chercher à me découvrir. L'obscurité est mon alliée, mon manteau noir une seconde peau qui me protège des regards indiscrets.

Corps : ON/OFF

- Force : 1466 kg / 80 kg

- Vitesse : 55 m/s / 10m/s

- Résistance : 2300 kg/cm² /2300 kg/cm²

Mes capacités physiques sont devenues monstrueuses, ça ne m'étonne pas que les docteur Birkin dans le jeu paraissent immortel après son infection, s'il avait eu plus de temps pour muter, je ne sais pas si il serait vraiment tué par l'explosion dans le train. Je pense que je pourrais facilement le maîtriser dans sa première forme.

Je suis capable de sauter jusqu'à 7 mètres de hauteur et quand je cours à pleine vitesse, je peux facilement dépasser les voitures, je ne suis pas encore au même niveau que Wesker quant il s'agit des esquives, pour l'instant, si j'esquive au max de ma vitesse, je me brise les chevilles.

J'ai encore un mois avant le manoir et je ne suis pas encore assez fort pour gérer les divers animaux pleinement mutés. Je pense que je vais devoir attaquer les différentes pègres afin de continuer à m'entraîner tout en éradiquant la raclure de cette ville et en gagnant un peu d'argent au passage.

Les ténèbres de la nuit sont mon domaine, un terrain d'entraînement sans fin où je peux pousser mon corps au-delà de ses limites. Mon être vibre d'une énergie inextinguible, une force brute qui ne demande qu'à être canalisée, à être façonnée par l'effort et la discipline.

Je n'ai pas rejoint les rangs des STARS par un sens de la justice, mais plutôt par une volonté de domination, une soif de pousser mon corps à l'extrême pour en extraire chaque once de sa puissance latente.

Les rues de la ville sont mon terrain de jeu, un champ de bataille où je peux affronter chaque défi avec une détermination sans faille.

Arborant une barre de fer comme extension de ma volonté, je fonds sur le repaire des narcotiques avec une agilité féline, mes sens aiguisés prêts à anticiper chaque mouvement de mes adversaires.

Les balles sifflent autour de moi, mais je les évite avec une grâce acrobatique, mes mouvements défiant la gravité alors que je me lance dans une danse mortelle avec la mort.

Les narcotiques se trouvent impuissants face à ma fureur déchaînée, mes muscles surchargés de puissance écrasant toute résistance sur leur passage. D'un geste fluide, j'utilise ma barre de fer comme une extension de ma volonté, brisant les défenses de mes ennemis avec une efficacité brutale.

Chaque combat est une leçon, une opportunité de perfectionner mes compétences et d'affûter mes réflexes. Je saute avec une agilité surhumaine, esquivant les tirs ennemis avec une facilité déconcertante, mes mouvements semblant presque prémonitoires alors que je danse à travers les balles avec une grâce insensée.

Quand le chaos se calme enfin, les narcotiques vaincus gisent à mes pieds, des témoins muets de ma puissance irrésistible. Je m'échigne a ranger la drogue dans l'espace pour le commissariat tout en prenant l'argent et tout ce qui peut me servir.

Des simple glock pour la plupart et beaucoup de munitions, soit en vrac dans des boites, soit des chargeurs prêts a l'emploi. Il y a même des munitions de fusils ou de mitraillettes mais celle ci semble emballé pour être vendue, semble t-il.

Le silence lugubre de la nuit est brisé par le fracas des armes à feu alors que je sors du repaire des narcotiques, victorieux mais pas indemne. Un coup de fusil à pompe déchire l'air, et je sens l'impact brutal dans mon dos, une explosion de douleur qui menace de me submerger.

L'hôte a subi 3000 kg/cm 2 par balle au dos. Aucun modificateur n'est appliqué.

Je chancelle, mon corps vacillant sous le choc, mais je refuse de céder à la faiblesse. Mes doigts se referment instinctivement sur ma barre de fer, prêt à riposter même dans ma vulnérabilité apparente. Les étoiles dansent devant mes yeux, mais je lutte contre l'obscurité qui menace de m'engloutir.

Je sens le sang chaud couler le long de mon dos, une sensation brûlante qui mord comme du feu. Des éclats de métal s'enfoncent dans ma chair, mais au lieu de fléchir devant la douleur, je me concentre sur la guérison qui pulse en moi, une force mystérieuse qui refuse d'accepter la défaite.

Les fragments de balle commencent à être expulsés de ma plaie béante, une danse macabre de métal et de chair qui témoigne de ma résilience. La douleur se transforme en une sensation de picotement alors que ma peau se régénéré.

Pendant ce temps, le seul survivant de l'attaque reste pétrifié, son visage blême marqué par l'effroi alors qu'il contemple l'impossible. La terreur le saisit alors qu'il réalise que je ne suis pas un simple mortel, mais quelque chose de bien plus sombre, bien plus terrifiant.

Son urine se répand sur le sol dans une mare nauséabonde, un témoignage silencieux de sa terreur absolue devant ma résurrection apparente. Son fusil a pompe ne lui donnant plus de sensation de sécurité. Je m'élance vers lui avant de lui briser la nuque comme une brindille avant de prendre son fusil.

« Corps » dis je irrité par le fait que mon imperméable soit complétement inutile.

Corps : ON/OFF

- Force : 1466 kg / 80 kg

- Vitesse : 55 m/s / 10m/s

- Résistance : 2534kg/cm² /2534 kg/cm²

Le lendemain, je rejoins mon unité sans rien laisser paraitre. Il ne s'écoule pas ½ heure avant qu'une mission ne nous soit confié.

L'atmosphère dans l'équipe Bravo est électrique alors que nous nous préparons pour une mission critique. Enrico Marini, notre chef charismatique, fait le point sur le briefing, détaillant les objectifs avec une précision militaire.

À ses côtés, Forest Speyer et Richard Aiken, deux vétérans aguerris, échangent des regards complices, leurs compétences tactiques inégalées prêtes à être déployées à tout moment.

Kenneth J. Sullivan et Edward Dewey, les pilotes de notre équipe, vérifient une dernière fois l'état de notre hélicoptère, leurs compétences en vol étant cruciales pour l'opération à venir. Rebecca Chambers, notre experte en médecine de terrain, prépare son équipement médical avec une efficacité silencieuse, prête à intervenir en cas de besoin.

Kevin Dooley, le tireur d'élite de l'équipe, ajuste son fusil avec une concentration intense, ses yeux scrutant l'horizon à la recherche de la moindre menace potentielle.

Et puis, il y a moi, Gérald King, un parmi cette unité d'élite, gardant mes capacités surhumaines soigneusement cachées derrière un masque de normalité.

La mission est simple en apparence : infiltrer la Banque Centrale de Racoon City, où des voleurs retiennent en otage des employés et menacent de faire sauter le bâtiment. Alors que nous nous élançons vers notre objectif, je sens l'excitation monter en moi, une anticipation fébrile mêlée à une confiance absolue dans les compétences de mes camarades.

Nous entrons dans la banque avec une synchronisation parfaite, notre formation ressemblant à une danse mortelle alors que nous avançons vers notre objectif. Les voleurs sont pris par surprise, leur arrogance se transformant rapidement en panique alors qu'ils réalisent la futilité de leur résistance face à notre détermination implacable.

Dans le chaos de la bataille, je laisse mes capacités surhumaines éclater au grand jour, ma force monstrueuse et ma vitesse fulgurante me permettant d'éliminer les menaces avec une facilité déconcertante.

Mais je veille à ce que mes collègues ne remarquent rien d'anormal, cachant mes exploits derrière des gestes calculés et des mouvements précis. Un des voleurs dire dans la direction des otages mais j'arrive a dévié sa balles avec son couteau par reflexe avant de lui tiré dans la tête.

C'est le seul moment ou mes collègues ont pu voir un semblant d'anormalité venant de moi.

Pendant ce temps, mes compagnons d'armes démontrent leur propre expertise, leurs compétences tactiques et leur sang-froid impressionnant faisant la différence dans les moments les plus critiques.

Enrico dirige l'assaut avec une autorité indiscutable, tandis que Forest et Richard couvrent nos arrières avec une efficacité redoutable.

Les pilotes, Kenneth et Edward, on déjà abattu plusieurs voleurs qui tentait de voler notre hélico. Rebecca reste en retrait, prête à intervenir en cas de blessures, sa présence rassurante apportant un soutien vital à notre équipe.

Alors que la poussière retombe et que les voleurs sont maîtrisés, les employés libérés de leur captivité se rassemblent devant nous, leurs visages marqués par le soulagement et la gratitude. Ils expriment leurs remerciements avec émotion, nous louant comme des héros sauveurs.

Enrico, toujours humble malgré les éloges, incline légèrement la tête en signe de respect. "Nous faisons simplement notre devoir, madame", répond il avec un ton calme mais ferme.

Forest, avec son humour typique, ajoute avec un sourire en coin : "Mais si vous voulez nous payer un café, nous ne dirons pas non !"

Richard, en acquiesçant avec un clin d'œil complice, renchérit : "Ou peut-être un repas gratuit ? Nous avons faim après cette petite escapade."

Je partage un sourire modeste avec mes collègues, reconnaissant envers ces employés pour leur gratitude. "C'était une équipe bien coordonnée", dis-je, mes mots teintés d'une sincérité profonde.

Rebecca, toujours pragmatique, intervient avec un léger haussement d'épaules. "Eh bien, je suppose que je n'ai pas fait grand chose cette fois-ci", dit-elle modestement, mais son regard bienveillant trahit sa contribution indispensable à notre réussite.

Nous échangeons un regard complice, reconnaissant le travail d'équipe qui nous a permis de triompher dans cette mission périlleuse. Fiers mais modestes, nous nous éloignons de la banque centrale, prêts à affronter les défis à venir avec la même détermination inébranlable qui caractérise l'équipe Bravo.

Je reprends mes activités nocturne après cet journée mais un petit plus s'ajoute ce soir.

Devant ce qui semble être un entrepôt tout à fait banal à en croire les divers rapports qui ont eu lieu. Sauf qu'avec le dernier dealer que j'ai tué, il semble qu'il y a un passage souterrain qui n'est pas connu du personnel à l'arrière.

Vérifions d'abord mon équipement. J'ai 20 Glock et plus de 500 balles, un fusil a pompe et pas loin de 200 cartouche et ma fidèle barre de fer, ce qui est génial, c'est que les arme similaire ne prennent qu'un emplacement dans mon inventaire et que les barre s'empile également dans un slot. J'ai une barre de métal pour le corps à corps tout en évitant de retracer les matraques. Je pense que je suis parée.

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