Pleasant Hill: Chapitre 5

Pippin Lancaster sourit avec satisfaction alors qu'il utilisait sa méthode améliorée de manche à balai pour placer l'étoile au sommet du grand sapin de Noël qui dominait un côté de son salon. À huit ans, précoce et mignon, il était bien trop petit pour atteindre le sommet, même en utilisant l'escabeau à trois échelons de la salle de travail. Cependant, en tant qu'inventeur et détective amateur, il était habitué à résoudre des problèmes en utilisant son ingéniosité et avait trouvé une solution à l'aide d'une vieille vadrouille et de pinces à salade.

"Maintenant, c'est tip top!" annonça-t-il, à personne en particulier, car il était le seul présent. Il portait un chandail de Noël trop grand, un pantalon et des chaussures à boucles. Des cheveux châtains indisciplinés encadraient son visage expressif, menaçant comme toujours de couvrir totalement ses oreilles et son front. Après avoir contemplé l'arbre encore un instant, Pippin se dirigea vers la cuisine, où le lait de son chocolat chaud se réchauffait à feu moyen. Il le versa, ajouta la poudre de cacao et remua, respirant profondément pour savourer la délicieuse odeur alors qu'il souriait de contentement. Il aimait la période de Noël.

Après avoir ajouté des guimauves, il ramena sa tasse fumante dans le salon, fredonnant joyeusement et regardant la neige tomber dehors dans la faible lumière du soir. Encadrée avec le sapin de Noël, c'était l'image parfaite pour les vacances.

De retour dans le salon, il enleva un vieux disque vinyle de sa housse anti-poussière - Poems & Carols For Christmas - et le plaça sur le tourne-disque antique qu'il avait restauré au cours des deux semaines précédentes. Il avait été très difficile de trouver les bonnes pièces, mais comme toujours, Pip avait réussi à assembler quelque chose. Une voix masculine digne a commencé à raconter "Une visite de Saint-Nicolas" de Clement Clark Moore :

'C'était la nuit avant Noël, quand toute la maison

Pas une créature ne remuait, pas même une souris ;

Pip pensait que c'était à peu près parfait. Il avait son cacao, l'arbre, la neige qui tombait dehors, et maintenant les sons apaisants d'un conte de Noël classique. C'était le réveillon de Noël parfait, et rien ne pouvait le déranger.

Les bas étaient suspendus près de la cheminée-

QUOI !

Pip a été surpris et a failli renverser son cacao lorsque la porte de la salle de bain du rez-de-chaussée s'est ouverte et a cogné contre le mur. Il y a eu un bruit de grattement de disque et le joueur a commencé à sauter, répétant la même phrase encore et encore - " ont été suspendus " environ dix fois avant de glisser dans le silence. Puis, il entendit le son le plus terrifiant de tous - la voix grinçante de sa sœur aînée, Rina.

"Piiippiiiiiiin ! Il est temps pour vous d'obtenir votre cadeau ! » la taquina-t-elle, marchant dans la cuisine et dans le salon.

« Sœur ! » Pippin balbutia. Ses petites jointures blanchirent autour de sa tasse de cacao. Rina et ses amis avaient une obsession particulière pour lui, car ils avaient tous des complexes pour les petits frères mignons et petits. Depuis que son pénis avait grossi de manière plutôt inopportune, Rina profitait de chaque occasion qu'elle avait pour lui faire des fellations, des branlettes espagnoles, des fesses, des cuisses, des coiffures et tous les autres types de travaux. Cela n'avait pas d'importance si Pippin essayait de s'enfuir, car elle était deux fois plus âgée que lui, deux fois plus grande, et l'attrapait simplement et le traînait en arrière s'il courait. Le temps passé à être son petit frère chauve-souris personnel avait vraiment réduit son temps d'invention et de détective, à sa grande consternation.

Cette nuit-là, les intentions de Rina étaient claires. Ses longs cheveux blonds étaient dans son style de marque à deux queues, descendant jusqu'à ses fesses en forme de cœur. Elle portait un bikini rouge scandaleux avec une bordure blanche moelleuse, fait dans le style d'un costume de Père Noël. Ses seins massifs semblaient encore plus gros que d'habitude et ont presque fait exploser ses bonnets de soutien-gorge sur sa poitrine. Ils étaient facilement un bonnet M, et ses mamelons saillaient avec une évidence turgescente et gonflée sous le tissu. Sa taille était fine puis élargie vers l'extérieur en un gros cul de pomme rond pour adolescente alors que l'on suivait sa silhouette vers le bas. Des talons rouges éblouissants complétaient le costume.

« Viens t'asseoir sur les genoux du Père Noël et dis-lui ce que tu veux ! ordonna Rina, ses seins rebondissant alors qu'elle traversait la pièce vers lui. Les yeux de Pip s'écarquillèrent.

"Mais s-sis ! Je viens de finir de décorer le sapin ! il jeta un coup d'œil, et elle s'avança vers lui et se tint les mains sur les hanches.

« Mmm », dit-elle en se léchant les lèvres. « Et maintenant, tu peux me décorer ! Elle tendit la main et l'attrapa sous les aisselles, le soulevant et poussant un cri de surprise. Ses jambes courtes donnaient un petit coup de pied alors qu'elle le déplaçait vers le fauteuil, le faisait tomber et s'accroupissait devant lui de manière lubrique, accrochant ses doigts dans la ceinture de son pantalon, les déboutonnant et commençant à les faire descendre sur ses jeunes hanches minces. .

" Te décorer ?" Pip gémit.

« Mes seins sont si sensibles ! Je veux que tu baises ma branlette espagnole ! Rina gémit, à bout de souffle, et baissa le pantalon et les sous-vêtements de Pippin d'un mouvement fluide, exposant son gros pénis rose, qui était assez long pour atteindre son genou, épais comme son poignet et totalement glabre. "Allez, couvrez mes seins de votre sperme épais et gélatineux de petit frère!"

"Mais soeurette !" cria Pippin en serrant les poings et en se débattant un peu. "Les seins ne sont pas la même chose qu'un vagin !"

"Arrêtez d'être un tel nerd!" dit-elle, irritée, et souleva ses grosses bites bronzées et les laissa tomber sur ses minuscules cuisses pâles. « Je sais que vous préféreriez être habillé comme un homo et dire aux gens 'Allez-nous bénir, tout le monde !' mais je veux un peu de cette grosse bite !

Elle a collé sa lourde poitrine autour du pénis flasque de Pip et il a mordu sa lèvre malgré son appréhension de la situation. Les seins de sa sœur étaient si chauds, si lourds, si rebondissants ! Ils coulaient sur ses cuisses en grosses masses rondes de chair ! Contre sa volonté, il sentit le sang se précipiter vers sa zone la plus privée et la plus embarrassante, le faisant monter dans le canyon de son décolleté.

« Merde, au moins une partie de toi n'est pas timide ! Rina a continué. "Je peux sentir ta bite chaude et dure monter entre mes seins. Il pousse son chemin à travers! C'est vraiment affirmé, même si vous ne l'êtes pas !"

"Je ne peux pas contrôler ça !" Pippin gémit, ses joues roses et ses petits poings agrippant désespérément le coussin de la chaise, à côté de ses hanches. Ses jambes courtes pendaient à un demi-pied du sol, son pantalon et ses sous-vêtements enroulés autour d'eux.

"Je n'arrive pas à croire que j'ai la chance d'avoir un petit frère avec un gros dong d'âne ," annonça Rina, d'une voix sensuelle. "Toutes les autres filles sont si jalouses. Ils demandent toujours à venir te rendre visite, Pippin.

"Mais je préfère jouer avec des enfants de mon âge !" Pippin gémit en se mordant gentiment la lèvre.

"Ouais?" aboya Rina, grincheuse. "Eh bien tant pis ! Ta bite est si grosse, ça a fait de moi la fille la plus populaire de l'école ! Pippin gémit et son gros bout de bite sortit de la crevasse de son décolleté, à quelques centimètres sous sa bouche. « Oh ! Regardez ce qui vient d'apparaître ! Je suppose que tu aimes ça plus que tu ne l'admets !

« N-non ! » Pippin a objecté, mais Rina ne prêtait pas attention à ce qu'il disait de toute façon. Elle a commencé à enfoncer sa langue dans son pisshole et à traire ses énormes et lourds seins de haut en bas, de haut en bas, caressant sa hampe avec une douceur et une chaleur indescriptibles. Elle inclina la tête en biais, ses cheveux blonds tombant en cascades jumelles. Après un moment, elle est passée de la taquinerie à la succion complète, tendant la tête vers le bas et enroulant ses lèvres autour du gros bouton de Pip, faisant un visage de pipe lubrique de grande soeur, creusant ses joues et suçant tout en faisant sa bouche dans une forme de tube allongé.

Le son humide et bâclé de la succion ne faisait qu'ajouter à l'indécence de l'image. Sluuuurp ! Slooooooorp ! Sllllllch !

"Sis, tu fais une drôle de tête !" Pippin pépia, et sa propre voix était tendue par les sensations traversant son jeune corps. Mais Rina n'a pas répondu, elle était dans son propre petit paradis, utilisant ses énormes seins pour traire la grosse tige de son frère préadolescent et buvant le liquide pré-éjaculatoire qui s'en écoulait. Elle ne pouvait pas en avoir assez du sperme de Pip; en effet, elle et son cercle social ont convenu que le sperme de petit frère était la meilleure chose au monde. Bon pour la peau, bon pour l'appétit, bon pour la santé mentale. Lors de leurs soirées pyjama, ils se racontaient des histoires folles sur les énormes piqûres qu'ils avaient vues sur les petits enfants sur les plages de Pleasant Hill pendant l'été, se livrant parfois à une masturbation mutuelle tout en se taquinant dans leurs nuisettes et leurs sous-vêtements. Rina Lancaster, comme toutes les lycéennes restées à Pleasant Hill, était une petit frère accro .

« Mmm ! J'aime le goût de ton sperme épais ! elle gémit, en ouvrant la bouche et en continuant à masser ses énormes seins de haut en bas sur la tige de Pip, qui, bien qu'elle mesure un pied de long (et semble encore plus grande en raison de la taille relativement petite de son corps), ne sortait encore qu'un peu parce que de la taille massive de ses seins. « C'est aussi épais que de la gelée et l'odeur est si forte ! Je n'arrive pas à croire que tu n'es qu'un petit enfant ! Comme pour le démontrer, elle a tiré une mèche de sperme du trou d'urine qui fuyait de Pip. Il s'est étiré comme de la tire avant de se casser, et elle a aspiré le gâchis gluant comme un brin de pâtes. « Mmm, ouah ! » marmonna-t-elle, les joues gonflées, parlant la bouche pleine. « Je vais le montrer après ! "

Pippin ferma les yeux, impuissant, essayant d'éviter de crier alors que son pénis palpitait au bord de l'orgasme. Il avait prévu d'écouter des chants de Noël ce soir-là tout en buvant du cacao et en travaillant sur sa dernière invention, mais les seins énormes, chauds, doublés de bronzage, de sa sœur blonde étaient tout simplement trop ! Sans oublier l'air coquin sur son visage, avec sa bouche tendue comme un fourmilier ! "Sœur ! Si tu continues comme ça, je vais- »

« Mmm, allez-y ! » taquina-t-elle, continuant à le traire, écrasant ses énormes seins autour de sa hampe avec toute la force de ses avant-bras intérieurs, les faisant glisser de haut en bas. À chaque coup ascendant, un reflux de sperme chaud et épais s'échappait du bout du pénis de Pip. « Votre sperme est si épais et viril ! Rien de tel que le reste d'entre vous qui sait tout ! » Sa bouche se transforma en un sourire à pleines dents. "Je veux que tu imprègnes ma branlette espagnole !"

"Mais ce n'est pas comme ça que... nnngh... les bébés sont faits !" Pippin gémit, son corps tremblant. Des mèches de sa tignasse châtain glissèrent autour de son front et de ses oreilles. Malgré lui, son petit corps commençait à se contracter et à s'enfoncer dans le piège à paizuri chaud, humide et lubrifié à la broche qu'était le décolleté de sa sœur. C'était si glissant et doux et chaud… un peu comme il avait entendu dire que les vagins étaient comme, dans les manuels qu'il lisait pendant son temps libre. Bien sûr, cette information avait été confirmée de première main lorsque sa sœur et ses camarades de classe avaient pris sa virginité quelques mois auparavant, et depuis lors, sa vie était devenue un jeu constant de cache-cache. Quand Rina et ses amis étaient excités, il se cachait. Et ils chercheraient.

Alors que Rina sentait qu'il se rapprochait, elle a changé d'angle, reculant un peu et pressant ses seins comme de grosses torpilles gonflées sur toute sa longueur, engloutissant les douze pouces entiers de boydick chaud et palpitant. « Fais-le, Pipi ! Jouis entre mes seins ! l'encouragea-t-elle, et commença à frotter ses seins sur sa hampe avec une intensité supplémentaire. Elle était manifestement très excitée, et la friction de son frère-bite sur son manchon de bite en forme de sein l'amenait elle-même au bord de l'orgasme. Il ne fallut pas longtemps avant que le jeune corps de Pippin n'en puisse plus, et il bougea ses hanches vers l'avant, enfonçant sa longueur dans le pli serré, humide et charnu que ses seins avaient formé.

Spluuuuuuurg !

Un son bouillonnant, faible et liquide a été entendu entre ses seins alors que le bout de la bite de Pippin se dilatait alors qu'une grosse corde épaisse de sperme chaud était pulvérisée profondément dans sa chatte. Le son était quelque peu étouffé par ses énormes bonnets en M, presque de la taille d'un ballon de basket et coulant sur ses cuisses comme de gros oreillers bien gras alors même qu'elle les tenait avec ses poignets. Les yeux de Rina s'écarquillèrent alors que Pippin continuait à jouir. « Waouh, je peux le sentir ! Tu remplis totalement ma chatte avec ton sperme d'écolier extra-épais !" s'émerveilla-t-elle, sa voix dégoulinant d'excitation. « Bon sang, combien peux-tu tirer ? Pas étonnant que tes boules soient si grosses !

Spluuuuuuuuurg ! Spluuuuuuuuurt ! Spluuuuuuuuurg !

Pippin avait un regard complètement déconcerté sur son visage alors qu'il soufflait ce qui semblait être une douzaine de cordes chaudes et volumineuses de matériel reproducteur entre les seins de sa sœur. Pourtant, malgré le fait qu'il tirait tellement qu'il avait l'impression que son trou de pipi s'était ouvert d'une taille supplémentaire, rien de tout cela ne coulait sur ses cuisses, ses couilles ou la zone lisse et sans poils de son pubis. Il se laissa retomber sur la chaise, les yeux mi-clos, haletant joliment, ses énormes couilles, ayant fait leur travail, allongées et rassasiées entre ses jeunes cuisses lisses.

Lorsque Rina a finalement cessé de presser ses seins l'un contre l'autre et s'est effondrée sur ses genoux, le gâchis que Pippin avait créé est devenu clair. Elle en avait l'air complètement stupéfaite, regardant avec incrédulité sa propre poitrine. D'énormes cordes collantes de sperme s'étiraient entre ses énormes heurtoirs comme des ponts affaissés. Il y en avait des dizaines, blancs et gluants, et tout le milieu de sa poitrine était plâtré comme si une bombe à sperme avait explosé. « Merde, Pépin ! Tu as vraiment imprégné mes seins ! s'émerveilla-t-elle en se léchant les lèvres. "C'est le meilleur cadeau de Noël qu'une grande sœur puisse recevoir !" Elle expira lentement, comme si elle essayait de réguler sa respiration. "Mmm, je viens juste de ta bite en train de me baiser les seins!"

Pippin, presque évanoui, n'a offert qu'un gémissement aigu et fatigué. Un orgasme le rendait toujours somnolent, mais avant qu'il ne puisse s'assoupir dans son pull en forme de tente replié sur sa bite ramollie et ses petites jambes pendantes, on frappa à la porte d'entrée. Rina se leva pour y répondre, la poitrine toujours bâclée de sperme qui glissait le long de son corps très lentement, comme une sauce épaisse. « Ça doit être Gwen et Ling », dit-elle d'un ton neutre. "Je leur ai dit qu'ils pouvaient venir tous les deux et prendre ta grosse bite dans la chatte et le cul !"

"Awww, pas encore !" Pippin se plaignit et s'affaissa encore plus sur la chaise, son expression misérable. Il laissa échapper une expiration sifflante et épuisée qui fit flotter la frange encadrant son visage. La veille de Noël, semblait-il, allait être assez différente de ce qu'il avait prévu.