Chapitre 17 : Sélection nationale, faire justice et fin d'année.

Une nuit, Alors que Ron s'apprêtait à dormir, Harry à côté de lui regardait sa carte du maraudeur quand il a été choqué qu'un nom figure ses les déplacements de la carte, « Peter Pettigrow ».

« Ron ! Ron viens vite voir ça… » Harry a dit avec empressement.

Ron : Ayez pitié mon bon Seigneur, Percy m'a déjà épuisé tout à l'heure avec son rat qu'il a perdu depuis un moment.

Harry : Ron c'est urgent !

Il est venu voir la carte et lui-même a froncé les sourcils en voyant le nom. Ils se sont regardés et sont immédiatement descendus pour regarder si Pettigrow était vivant et vraiment à l'emplacement sur la carte mais ils n'ont rien vu alors qu'un certains rat était caché dans un trou.

Harry voulait continuer mais Ron a dit qu'ils chercheront demain et ils sont partis avant que Rogue ne vienne là.

Le lendemain, Ron a emprunté la carte à Harry et il est allé voir Lupin avec qui ils sont allés au bureau de Dumbledore.

Albus : Jeune Weasley, vous disiez avoir une affaire urgente dont vous vouliez nous parler…

« Regardez ceci… » Ron a déposé la carte du maraudeur sur la table et les deux hommes sont venus regarder.

« Oh je connais bien cette carte… » Dumbledore a dit avec amusement.

Ron : Elle donne en temps réel les noms et déplacements de tout le monde dans le château.

Lupin : Je suppose que bien des élèves ont fait de mauvais coups avec…

Dumbledore : soyez-en certain…

Ron : Écoutez-moi professeurs, c'est très sérieux ! Il se trouve que hier Harry et moi l'avons ouverte et un nom particulier y est apparu.

« Voldemort… ? » Dumbledore a demandé en voyant le visage sérieux de Ron, il savait que lui et Harry avaient déjà fait face à cet homme à deux reprises.

Lupin : C'était Sirius Black ?

Ron : Peter Pettigrow...

Les deux hommes sont restés silencieux pendant un temps…

Lupin : C'est impossible…

Dumbledore : En êtes-vous bien sûr ?

Ron : Vous croyez vraiment que je me serais dérangé à vous trouver si c'était faux ?! J'ai trop d'estime pour ma paresse pour faire ça.

Lupin : Ronald, si ce que tu dis est vrai alors…

Dumbledore : Ce pauvre Sirius…

« Quoi ce pauvre Sirius ? Racontez -moi… » Ron a demandé alors que les deux hommes se sont regardés.

Dumbledore : Jeune Weasley, nous te remercions pour tes informations et si tu veux bien, nous allons t'emprunter cette carte. Le professeur Lupin et moi avons à parler de choses sérieuses dès à présent…

Ron : Vous êtes sérieux ? Vous allez me laisser en plan comme ça ?

Lupin : Ron, c'est plus compliqué que tu le penses. L'affaire est malheureuse, je te promets de tout t'expliquer après.

« C'est n'importe quoi ! Vous pouvez m'oublier dans votre ordre du pigeon… » Il a dit en partant de là et alors que rempli de colère et de frustration mais alors qu'il marchait, le professeur McGonagall l'a interpellé.

McGonagall : Monsieur Weasley.

Ron : Professeur ?!

McGonagall : Le ministre de la magie a eu vent de vos exploits scolaires et aussi de vos exceptionnels performances au Quidditch, nous avons eu une très bonne discussion à votre sujet.

Ron : Me voilà comblé, je nage dans le bonheur.

McGonagall : Arrêtez avec ce sarcasme mon enfant. J'ai la fierté de vous annoncer que vous passerez les tests d'admission en équipe nationale de Quidditch d'Angleterre dans un mois. Vous pouvez être fier de vous et je vous interdis de vous absenter ou de simuler une mauvaise performance, au bout de trois années je connais vos manières mon enfant.

Ron : Professeur mais mon âge...

McGonagall : Normalement, l'occasion est accordée aux élèves à partir de leur cinquième année mais vous êtes une exception par le ministère lui-même !

Ron : Professeur par pitié-(interrompu)

« Rendez-nous fiers monsieur Weasley… » elle a dit en partant avec un sourire satisfait.

Ron est resté là dans un état second avant de partir avec autant d'énergie qu'un zombie, il avait l'impression que le ciel se moquait de lui.

Plus tard dans la journée, Harry est venu le chercher avec Hermione et Ginny alors qu'il se faisait consoler par Luna et lui a dit qu'Hagrid les cherchait, il leur a dit de partir sans lui avec une voix épuisée mais Harry a insisté et Ron les a suivi.

Alors qu'ils arrivaient à la petite maison en pierre du demi-géant, ils ont vu Buck qui était sagement assis là au milieu des citrouille. Près de là, Malfoy et ses camarades ont approché et ont ramassé des pierres pour les lancer à l'hippogriffe.

« Ces idiots… » Hermione s'est énervée et a voulu courir vers eux mais Ron l'a retenu par le bras.

Hermione : Je peux savoir à quoi tu joues ?! Il veulent faire du mal à Buck !!

Harry : Elle a raison.

Ron : Taisez-vous et regardez juste…

Malfoy et ses amis ont lancé leurs pierres sur Buck quand Ron a bougé légèrement son index et les pierres sont revenues leur frapper aux visages.

Harry et les autres se sont mis à rire alors que Malfoy et ses amis se sont enfuis de là en gémissait de douleur.

Luna : C'était bien joué, subtile et efficace. Ils sont aussi nuisibles que les nargoles (Nargles).

Ron : Merci ma belle !

Hagrid est sorti de la maison et les a accueilli.

« Ah vous voilà ! Entrez, entrez vite j'ai fait du thé ! »

Harry : Hagrid vous avez l'air de très bonne humeur.

Hagrid : Oh oui Harry, grâce à Ron, Buck et moi n'avons pas été reconnus coupables de l'accident de Malfoy, il nous a défendu devant l'assemblée.

Hermione : Quelle assemblée !?

Ron : C'est une longue histoire, plus tard je vais-(interrompu)

Hagrid : LAISSEZ-MOI VOUS RACONTER COMMENT RON A RENDU JUSTICE POUR BUCK ET MOI.

« Maman, pitié… » Ron s'est plaint en massant le haut de son nez alors que Luna lui a tapoté le dos. Hagrid a raconté avec joie comment tout s'est passé ainsi que le verdict final du ministre.

Il a ensuite remercier Ron avec des yeux larmoyants et a sorti d'une des cages un rat gris que Ron, Ginny et Harry ont reconnu, c'était le rat disparu de Percy que Ginny a pris dans ses mains.

Quand ils sont partis de là, l'hippogriffe a claqué du bec en voyant Ron passer et il s'est incliné vers le jeune homme pendant que les autres ont avancé.

Ron s'est incliné en réponse avant de prendre un des furets étalés là par Hagrid et il a nourri Buck en lui caressant les plumes, Luna aussi s'est approchée pour le toucher et Buck l'a laissé faire pour une raison qui a échappé à Ron.

Ils sont restés là un peu avec lui quand en touchant aux plumes de Buck les doigts de Ron et Luna se sont touchés, ils se sont regardés dans un état second avant qu'un cri ne les interrompe et c'était la voix de Ginny.

Les deux ont immédiatement couru vers la direction des cris pour voir Harry et Hermione se faire malmener par le saule cogneur.

« OÙ EST GINNY ? » il a demandé avec inquiétude.

Hermione : Un grand chien noir l'a emmené dans le terrier sous l'arbre.

« IMMOBILIS » il a lancé un sort sur l'arbre qui s'est figé et a aidé Harry à se relever.

Harry : Je vais la chercher.

Ron : On y va ensemble, vous les filles allez attendre ici et si on ne revient pas, allez chercher le professeur Lupin.

Hermione voulait parler mais ils étaient déjà entrés dans le terrier. Ils ont parcouru le tunnel à l'intérieur qui les a mené à la cabane Hurlante où Ron et Harry ont sorti leurs baguettes ils ont entendu les gémissements de douleur de Ginny et sont allés voir.

Ron a trouvé sa petite sœur assise sur un vieux divan avec une blessure à la jambe et sa colère n'a pas été petite.

Ron : Où est le chien qui t'a fait ça ?

« Il est là, c'est un animagus » Elle a pointé son doigt derrière eux et ils se sont retournés pour y voir Sirius Black tenir le rat entre ses deux main.

Harry : SIRIUS BLACK !

Ron : VOUS… !?

Ils ont immédiatement pointé leurs baguettes sur lui alors que les yeux de Ron avaient une lueur dangereuse.

Soudain, Lupin est entré dans la pièce et il a voulu désarmer Harry avec le sort « Expelliarmus » mais Ron était beaucoup plus rapide que lui et avec « Accio », la baguette de Lupin est venue à lui.

« Ingénieux… » Lupin a murmuré alors que les filles sont entrées et en voyant Ron et Harry pointer leurs baguettes sur les deux hommes, elles ont fait de même.

Lupin : Ron, Harry…les choses ne sont pas ce que vous croyez !

« Vous avez trahi mes parents, ILS SONT MORTS PARCE QU'ILS AVAIENT CONFIANCE EN VOUS ! » Harry a dit avec rage à Sirius qui l'a regardé avec confusion.

Lupin a essayé de se déplacer vers Sirius mais un arc électrique est sorti de la baguette de Ron pour frapper L'endroit où il voulait poser son pied, le forçant à rester sur place.

Sirius : C'est ce qu'il t'ont dit Harry ?! C'est ce qu'ils t'ont dit de moi ?! Jamais je n'aurais trahi Lilly et James, ils étaient mes amis.

Lupin : Ron, Ron écoute-moi ! Tu dois me faire confiance, Sirius Black est innocent ! Tout le monde a été dupé et il est la vraie victime de toute cette affaire avec les pauvres parents d'Harry.

Ron : Vous voulez me faire croire que l'homme qui a voulu arracher la jambe de ma petite sœur est une victime ? Si ce n'est pas lui qui a trahi les parents d'Harry alors c'est qui ?!

Sirius : Peter Pettigrow…il est celui qui l'a fait, PAS MOI! Pendant 12 ans j'ai attendu enfermé, à AZKABAN !!

Ron :…Je commence à comprendre ! Harry, baisse ta baguette.

Lupin : Tu as compris Ron, ton intelligence me surprendra toujours.

Harry : Qu'est-ce que tu racontes Ron ?! C'est l'homme qui a trahi mes parents, tu te souviens ?

Ron : Pendant près de 12 ans ce rat des champs est resté le même, pas un signe de vieillesse, jamais il n'est tombé malade et aucun rat normal n'a cette longévité. (regarde Sirius) Laissez ce rat au sol.

Lupin : Sirius, tu peux faire confiance à ce garçon.

Sirius : Je ne veux pas prendre le risque qu'il s'échappe à nouveau.

Ron : Je vous donne ma parole que cette chose n'ira nulle part et vous et moi aurons une discussion sur ce que vous avez fait à ma petite sœur.

Sirius a laissé tomber le rat au sol et en plein air, Ron l'a frappé avec son sort « Cancellatio » qui a annulé la métamorphose du rat pour le ramener à sa forme humaine qui a surpris Harry et les filles.

Pettigrow a essayé de ramper pour fuir mais Ron l'a frapper avec « Immobilis » et les deux hommes l'ont saisi.

Snape est entré et a immédiatement pointé sa baguette sur Sirius et Lupin mais Ron lui a également arraché sa baguette comme avec Lupin.

Rogue : WEASLEY !!

Ron : Professeur, ne perturbez pas une conversation importante.

« Je vous écoute, parlez ! » Harry a demandé à Sirius qui a commencé à raconter tout ce qu'il s'est passé, qui était Pettigrow et comment il a trahi s'est parent pour le compte de Voldemort.

Ron a défait le sort d'immobilisation sur lui ils l'ont interrogé, Pettigrow a avoué qu'il les a trahi par peur. Quand il a avoué ça, Ron a vu une légère lueur meurtrière dans les yeux de Rogue.

Il a rendu sa baguette à Lupin qui l'a remercié pour la pointer sur Pettigrow.

Sirius : Lupin nous devons le tuer maintenant.

Lupin :Tout à fait d'accord !

Harry : NON !

Sirius : Harry ? Il a pratiquement tué tes parents !! C'étaient mes amis.

Ron : Il a raison, le tuer ici serait d'une grande stupidité. Vous avez passé 12 longues années à AZKABAN alors que vous êtes innocent et votre nom a été souillé par la presse et le ministère. Le confronter aux autorités sera le moyen de vous innocenter et vous ne serez plus en cavale.

Il a également rendu la baguette de Snape qui l'a regardé comme pour lui dire qu'ils vont en reparler.

Ron s'est approché de Ginny et lui demander si elle allait bien, il a fait glisser sa baguette sur sa plaie et elle s'est refermée.

« J'ai eu tellement peur petite sœur… » il a dit en la prenant dans ses bras pour la rassurer, là il a réalisé que certaines choses pouvaient évidemment l'effrayer mais pas parce que ça lui arrivait, parce que ça pouvait menacer ses proches.

Ils sont sortis de là avec leur captif et il faisait déjà nuit, c'était un soir de pleine lune. En constatant ça, Snape et Sirius ont regardé nerveusement Lupin mais il ne s'est pas transformé, il allait bien et ça les a hautement intrigué.

Ils sont retournés à l'école où Dumbledore a rassemblé tous les enseignants pour leur parler et contacter le ministère de la magie.

Trois jours plus tard une affaire a secoué le monde des sorciers dans les journaux avec l'article qui a annoncé que Sirius Black était en fait innocent de toutes les charges qui ont pesé sur lui depuis 12 ans.

Cette affaire a fait énormément parler car un innocent avait perdu 12 ans de sa vie dans un endroit horrible comme AZKABAN et ils se sont demandé si le ministère était encore fiable en condamnant des innocents.

Sirius était revenu pour discuter avec Harry et Ron a été convoqué chez Dumbledore, il n'était pas du tout enthousiaste à cette idée.

Ron : Vous vouliez me voir professeur ?

Dumbledore : Oui, approchez monsieur Weasley.

Le professeur Lupin était aussi là et il a fait un signe de tête à Ron qui l'a boudé, ça l'a fait rire.

Dumbledore : Je crois que le professeur Lupin et moi-même vous devons des excuses. Nous avons sous-estimé grandement vos capacités et votre maturité mais parce que vous êtes le meilleur ami d'Harry nous avions peur que vous lui en parliez.

« pffff » Ron a secoué sa tête.

Lupin : On est désolés Ron !

Dumbledore : Les informations que vous nous avez fournies et votre discernement ont aidé à innocenter un homme qui a presque tout perdu et le parrain d'Harry. Je sais qu'on vous a frustré et si on pouvait faire Quoi que ce soit pour vous faire changer d'avis et rejoindre l'ordre du phénix alors…

Ron : Ma candidature pour l'équipe nationale de Quidditch, révoquez-la et peut-être j'y penserai.

Dumbledore : Impossible McGonagall et moi-même comptons trop sur vous pour-(interrompu)

« Au revoir professeur » Ron a dit en partant alors que les deux hommes ont eu une migraine.

Quelques jours plus tard, une autre nouvelle a perturbé la paix ambiante. Alors que Pettigrow allait être transféré à Azkaban, quelque chose ou quelqu'un l'a aidé à s'échapper et ça a encore une fois fragilisé l'influence du ministère.

En outre, le professeur Lupin avait été demi de ses fonctions car quelqu'un avait informé le ministère de son statut de loup-garous, Ron savait que c'était Snape et il était très énervé car il appréciait bien Lupin.

L'ancien professeur les a vu lui et Harry et leur a dit que ce n'était pas grave et que ça tombait bien car il voulait aider Sirius de nouveau libre à se réadapter .

Il a demandé sincèrement à Ron de réfléchir sur leur proposition car il aimerait encore travailler avec lui. Il leur a donné une tablette de chocolat et Ron lui a donné la recette de la potion avant qu'il ne parte.

Le temps est passé et ont eu lieu les test de sélection de l'équipe nationale d'Angleterre qui va participer à la coupe du monde de Quidditch cet été en Irlande.

Ron avait déjà passé les test et a affiché les meilleurs résultats parce qu'une certaine fille aux longs cheveux presque blancs était entrain de l'encourager.

Ron avait demandé au départ à Harry de proposer également sa candidature mais il a refusé car il voulait rattraper le temps avec son parrain pendant l'été au grand malheur de Ron qui s'est retrouvé seul.

Il a fait la une de la gazette du sorcier en étant le joueur le plus jeune de l'histoire à rejoindre la sélection nationale de Quidditch et son nom à été entendu partout au delà de l'Angleterre alors que sur la photo de première page du journal, on l'a vu serrer la main du ministre de la magie alors que l'expression de son visage lui donnait l'air de quelqu'un qui voulait qu'on l'achève.

L'année s'est achevée et ils étaient tous au festin, Dumbledore avait déjà remis le trophée des quatre maisons à Gryffondor et Ron était assis avec Luna alors qu'ils mangeaient.

Luna : Arrête un peu de faire cette tête, ça ne peut pas être si terrible.

Ron : Les entraînements, les matchs amicaux, les préparatifs et cette satané coupe du monde ! Ça va me prendre énormément de mon temps et moi je veux dormir pendant l'été !

Luna : Moi ça me plairait bien de te voir gagner cette coupe, je vais venir t'encourager !

Ron : C'est vrai ?

Luna : Bien sûr idiot (rougit)

Ils ont continué à manger et à discuter. Deux jours après, ils sont rentrés chez eux et Ron à reçu sa convocation officielle en équipe nationale.