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Chapitre 14- Discussion intérieure

Je suis encore morte par le lapin ?

Est-ce que mon heure est enfin venue ?

C'est impossible pour moi pas vrai ?

Je ne suis pas censé mourir même si je connais déjà la sensation.

Un calme agréable résonné dans ma tête, plus aucune sensation ne parcourait mon corps, c'était si apaisant. J'aimerais rester comme ça, mais je sais très bien que c'est impossible, car dans la ville où je suis, dans cet endroit, une maison, celui de mon enfance. Il est inconcevable qu'un t'elle endroit soit fait pour élever et éduquer un enfant, cet environnement dans le qu'elle, j'ai vécu n'était pas faite pour un enfant et si c'était réellement possible, ce sentiment que je vis actuellement n'est pas désagréables au contraire, c'est si reposant.

Dois-je ouvrir les yeux ?

Me reposer encore un peu ?

Je ne sais pas ?

Si j'ouvre à nouveau les yeux où je le réveille, pourrais-je retrouver ce calme si agréable ?

Malheureusement, je ne connais que trop bien la réponse.

Je reste dans ce silence pendant un temps que j'ignorais et comme tout moment heureux, une triste nouvelle succède toujours.

Réveille-toi !

Cette voix, je l'ai déjà entendue quelque part, je la connais si bien, mais pourtant, je ne veux pas me réveiller.

Le chapelier fou debout, tu as assez dormi !

J'ouvre mes yeux, mon regard était posé sur un sol blanc immaculé, j'étais allongée. Mon regard observé chaque recoin de ce lieu, aucune porte à portée de vue, des piliers d'un marbre blanc immaculé à son tour, je me lève et commence à m'étirer légèrement puis je me frotte les yeux. Devant moi une chaîne tout ce qu'il y a de plus classique et une personne assise dessus puis elle prononça des morts que je n'entends pas, mais pourtant, j'avais la sensation de les avoir entendues, on aurait dit qu'elle pouvait s'afficher sur un écran.

Bien dormi ?

Je le regarde sans rien dire et soupirs, il claque des doigts et me voilà assis sur une chaise à mon tour, je sursaute légèrement et le regard légèrement énervé. Il me sourit et baisse l'index de sa main gauche est me voilà à nouveau au sol, il semblait s'amuser sauf que pour ma part cela m'agacer plus qu'autre chose et il relève son index vers le haut et je fus à nouveau assise, je soupire à nouveau et me gratte la tête.

 -T'as fini, tes conneries. Jiyu agacé

J'ai compris, j'arrête.

- Sérieux, qu'est-ce que tu me veux stupide lapin. Jiyu le regard énervé

Pas grand-chose, je voulais juste m'occuper.

-C'est ça ! Ne me fais pas croire à ta merde ! Tu veux forcément un truc, espèce de dégénéré ! Jiyu, montant d'un ton

Ok, j'ai compris.

Il affichait un sourire de satisfaction et se lève, il s'avance vers moi, le lapin se penche et pause sa maison droite sur ma chaise. Je le regardais encore plus énervée ai telle point qu'un grognement pouvait d'entendre.

Je m'ennuie à mourir avec vos petites enquêtes.

J'ai juste envie d'accélérer les choses et que ça devienne plus intéressant

Même si pour ça, je dois vous faire souffrir

--Espèce de bâtard ! Jiyu, le visage expriment de la haine.

J'étais levé devant lui, le visage face à face, je ne pouvais qu'apercevoir son sourire afficher sur son visage qu'y était trouble pour mes yeux. Il bouge ses lèvres, mais à ce moment-là, il mettait, impossible de savoir ce qu'il m'avait dit et suite à cela, il pausa sa main sur ma tête et je me retrouvais au sol avec une telle puissance qu'il mettait impossible de bouger, c'était comme si une pression m'écraser tout le corps et étrangement, je ne sentais aucune douleur. Le visage écrasé à terre, j'essaie de le bouger pour essayer de l'observer, ça avait duré qu'une fraction de seconde et suite à cela, il se baissa et s'assoit les genoux posés à terre.

Tu sais que je peux te tuer ? Le lapin posant sa main droite sur sa joue

Si je le souhaite, en un simple battement de cils, je peux tout vous tuer ou recommencer ce monde à zéro.

Encore, si l'envie me prend, je peux aussi faire en sorte que tu puisses ressentir, une douleur si forte que n'importe quel humain mourait automatiquement sur place.

Le lapin se redresse et frotte ses jambes puis il me tourne le dos, en marchant quelques pas, je le regardais toujours écraser par cette forte pression. Il faisait quelques allers-retours puis s'arrêta, son index et son majeur était légèrement posé sur ses lèvres arborant fièrement un sourire de satisfaction et cette retourna à nouveau vers moi en lâchant un faible rire. Une fraction de seconde s'écoule qu'une douleur inimaginable pour n'importe quel être humain parcourus tout mon corps, je ne pus pousser aucun cri, j'avais l'impression d'exploser, mon cerveau était comme saturé, c'était si douloureux, j'avais perdu tout raison logique. Mon corps et mon âme tout entier ne comprenais pas ce qu'y était en train de m'arriver mais pendant que tout mes pensées ce mélangeaient, ma pensée s'arrêta sur un détail inhabituelle et vu comment ce taré ce baissa, il semblait avoir deviner que j'avais compris, je n'étais pas morte sur le coup au contraire, j'étais bien vivante ou plutôt, c'est ce sale lapin qui me maintenait en vie. La douleur qui s'était propagée en un instant s'estompe, mais cela fut amplement suffisant pour me faire perdre à moitié conscience, je le regarde avec cette voix une vision plus que trouble puis il continue de me parler, mais je ne pouvais pas comprendre à nouveau ce qu'il me disait. Le lapin s'assoit sur moi et croise les jambes, puis pause ses mains de manière jointe comme si, il était en train de réfléchir, je ne disais rien et n'essaie toujours pas de bouger, je me sentais engourdi. Un silence était présent, j'entendais sa respiration qui était parfaitement régulière, quand je le regardais, j'avais l'impression de voir une personne tout ce qu'il y a de plus normal. Cette situation était tellement bizarre, je vois son regard tourné vers le mien, il me sourit puis ce mis à m'insulter de détraqué, il avait une réaction complètement différente en un seul regard. Le lapin se lève et s'étire, il pause ses mains sur ses hanches et se retourne, son regard est à nouveau posé sur moi et commence à me faire un sourire.

J'ai envie d'embêter, Cipher

- Quoi !? Pas question laisse le tranquille. Jiyu, prise au dépourvue

J'essayais de bouger mais il mettait encore impossible d'effectuer le moindre petit geste et j'entendis c'est chaussures tapé sur le sol puis je pouvais à nouveau me mouvoir, étant à nouveau debout, j'avais à nouveau l'esprit plus clair et n'éprouvent aucune colère, je voulus lui saisir son bras mais en un battement de cils, il avait disparue de mon champ de vision, je me retourne et était derrière moi puis s'assoit sur une chaise et pause son doigt sur sa bouche et prononça un chut puis me voilà à nouveau sur une chaise. Toute cette comédie me fit perdre la tête, je savais que ça l'amusait, mais je ne comprenais pas ce qu'il voulait, une blague, un jeu, nous blesser ou encore nous faire du mal ? Il était vraiment incompréhensible, mais je ne pouvais que l'écouter pour le moment ou discuter avec lui. Il ne dit toujours rien, juste avachi sur sa chaise en regardant au-dessus de lui, curieuse, je lève ma tête et ne vois qu'un plafond blanc, je tire une tête légèrement confuse, qu'es ce qu'il pouvait bien regarder, il redresse sa tête.

J'ai trouvé. Le lapin, exprime sa joie.

-Qu'est-ce que tu as trouvé ? Jiyu, confuse

Je sais comment je vais embêter Cipher, le lapin, pointe jiyu du doigt, et ne t'inquiètes pas, je ne vais pas te mettre en danger ou essayer de te tuer, le lapin sourit.

- Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ? Jiyu, ne comprenait toujours pas.

On va jouer à cache-cache, même si je pense, qu'il va trouver facilement.

Le lapin claque des doigts et je commence à m'endormir.

Pendant ce temps du côté de Cipher

Je dépose le corps de mon amie sur le canapé, elle était froide et d'une blancheur proche de la couleur de la neige. Je m'accroupis puis la fixe et Makoto arrive et se met à côté de moi, puis regarde jiyu à son tour.

- Qu'est-ce qu'on regarde en fait ? Makoto, curieuse

- On attend, que le clébard revienne à la vie. Cipher, dit-il d'une petite voix

- D'accord. Makoto, d'un ton motivé

Une heure plut, nous étions complètement allongés parterre, à contempler le plafond, la fille aux cheveux gris commence à se morfondre et à exprimer s'est plainte. Mon regard s'arrête sur son visage et je commence à observer chaque détail, sa bouche, ses yeux, ses joues, les long cils d'un couleur gris clair comme ceux d'un nuage, j'avais une seule envie c'était de l'embrasser mais je préférais éviter et pourtant la tentation est si forte que je voudrais qu'elle soit cas moi et à personne d'autre. Makoto tourne sa tête et j'évite son regard de peu, je pouvais sentir son regard sur moi, j'évitais le plus possible de croiser son regard et je décide de me lever. Elle me regarde et se lève à son tour et reste assise en tailleur au sol et continue de me regarder d'un air enfantin.Je m'assois à côté de Jiyu en regardant son visage pâle, je touche sa joue, elle était plus aussi froide que tout à l'heure, pour moi c'était bon signe et la fille aux cheveux gris continuer de me regarder puis à mon tour, j'essayais d'évité son regard à tous prix mais mon regard fuyant ce posa sur le sien, je gratte légèrement ma nuque qui montré que j'étais plutôt embarrassé mais Makoto ce lève puis s'avance vers moi.

- J'ai quelque chose sur le visage ? Makoto, montrant un visage d'incompréhension

- Bien sûr que non. Je lui repousse le visage.

- Pourquoi, tu m'as évité et fixer alors ? Makoto, méfiante

- Je n'ai pas le droit de te regarder maintenant ? Je lâche, son visage et puis à mon avis le clébard va bientôt chez ce lever.

- Oh, je ne savais pas, makoto, s'approche de Jiyu, c'est vrai qu'elle à repris de la couleur, makoto, la joue de la fille aux cheveux noirs, elle commence à retrouver une température normale.

Elle commence à poser le revers de sa main sur les joues du clébard, puis elle vérifia sa respiration en mettant son doigt en dessous de son nez et se retourne dans ma direction toute fier en affirmant qu'elle était bien vivante. Je la regarde dépité et je lui affirmais qu'elle était bien vivante et que c'était inutile de faire ça, puis elle s'allonge à terre comme un enfant déprimé puis me posa à nouveau une question.

- Cipher. Jiyu, elle se réveille quant ? Makoto, commence à soupirer.

- bientôt, ne t'en fais pas.

Je regarde le clébard, mais mes yeux me démangent puis je les frotte, et en re ouvrant les yeux, la fille aux cheveux noirs n'était plus allongés. Je me lève brusquement du canapé et Makoto sursaute puis elle fut à son tour surprise de ne plus la voir à longé.