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Chapitre 96 : - p2

L'audience était en ébullition.

Pour les gens normaux, les ninjutsus ajoutaient juste des effets spéciaux superbes. Les ninjas, particulierement les jonins, pouvaient apprécier, eux, la qualité du combat.

Quand Haku sort et se sacrifie pour sauver Zabuza du Raikiri de Kakashi, tout le monde savait que c'était un kage bunshin, mais au lieu de disparaitre dans un nuage de fumé, ce dont ils étaient témoins était Haku, effondrée et un trou dans le torse.

Tout le monde savait que l'acteur qui jouait Zabuza était le clone du Sandaime. Celui qui simulait la mort sans disparaitre n'était définitivement pas lui, la seul personne ayant un contrôle et des méthodes aussi parfaites étant Uzumaki Mito.

"Tout le monde est libre de parcourir la zone, il y a plusieurs activités et spéctacles."

Dans tous les stands, les ninjas commencaient a maintenir l'ordre et diriger les visiteurs.

Sauf, le stand ou notre protagoniste se tenait, ou tout le monde se foutait du ninja. Précisement, tout le monde était fixé sur Akabane.

"Akabane-chan, quels spectacles sont les meilleurs?"

Tout le monde savait qu'Akabane avait tout organisé.

"Tout est libre pour cette section, je n'ai pas les programmes spécifiques. Vous pouvez aller voir vous meme." Dit il en souriant, comme si il savait ce qu'il y avait. La vérité ?il n'en avait aucune idée. Tout avait été fait par Mito. C'était dur de dire que ses 8 clones ont tout monté solo.

La blague. Il comptait suivre son bonhomme de chemin mais un Anbu sauta de quelque part pour se planter devant lui.

"Akabane-sama, le Daimyo souhaiterait vous voir."

"Le Daimyo?"

'Et merde.' Il se cachait pour être tranquil, mais personne ne coopérait.

"Oui, Hokage-sama a dit aussi qu'il aimerait vous voir labas."

L'Anbu ajouta immédiatement la deuxieme phrase pour empecher une soudaine fugue. Il avait déja entendu parler de la légende, le myth, de sa fénéantise.

Akabane fit une grimace étranche et hocha la tete.

"Tu viens de la root? Travail dur, je me souvient de toi."

"Tous les Anbu qui l'appelait 'Sama' avaient étés torturés par son genjutsu, et avec l'aura, il avait déja reconnu son interlocuteur.

"um...merci, Akabane-sama." Cela semblait un compliment, mais l'Anbu trouvait quelque chose d'étrange.

"Ok, j'y vais." Akabane signala son départ et utilisa un shunshin.

Si il traçait voir le Daimyo, il n'en avait que pour quelques minutes.

Du coup, il fit un détour.

Le Daimyo? Il peut attendre.

Pourquoi? parce qu'il y a quelque chose a voir de bien plus intéressant qu'un Daimyo ailleurs.

Arrivé la ou il voulait arriver, devant lui se tenait une silhouette assise sur un rocher. Une robes noir avec des nuages rouges, des yeux étranges.

Uchiha Itachi, qui captura l'attention de tout passant.

Peut de temps apres, une autre personne arriva.

"Je vais te tuer!" evidemment Sasuke, joué par Ryo.

Apres un combat, Sasuke ne pouvait pas bouger, et Itachi, blessé, s'avançait vers lui pas a pas.

"Pardonne moi Sasuke, c'est la derniere foi." Une ligne familière, mais la voix était différente de l'anime. Sinon le reste était presque parfait.

Cette fameuse scene.

"Itachi est son frere !"

"Trop beau !"

la foule soupira et les filles s'agiterent comme des groupies sans cervelles.

Toute cette partie n'était pas encore écrite, mais tout le monde pouvait ressentir le nœud de sentiment qui les emprisonnait.

Bien sur, le plus important était la bogossitude.

Ryo se sentait fier en entendant les exclamations de la foule. Il appréciait les cris, malheureusement, la plupart était dirigés vers son big bro, jouer par Orochimaru.

'On dirait qu'il adore vraiment voir les grimaces de Ryo, perv.'

Akabane soupira et secoua la tete. Qui les avaient poussés dans cette direction...

'Itachi' le regarda, Akabane croisa son regard quelque secondes avant de s'en aller ailleurs.

Il esperait que le Daimyo et les autres pouvait descendre de la montagne pour pécher(*) un peut et Akabane avait hate.

Ces gens, ce qu'ils disent n'a généralement rien de littéral.

Mito par exemple, a organiser tout et participe. Est ce que c'était juste pour le hobby ? Il devinait que c'était aussi une démonstration.

Démontrer et réparer les relations. Plus une plateforme pour discuter les Uzumakis. Et ca, il le voyait clairement.

Cepandant, arrivant graduellement pres de la scene, il pouvait capter des bouts de phrases, et le contenus était tres different de ce a quoi il s'attendait.

Le Daimyo écoutait les difficulté de Mito et donnait l'opinion du pays du feu, et quand le ton montait, Hiruzen devenait l'arbitre. En gros, deux marchants et un médiateur.

"Monte, pourquoi tu reste planté la comme un idiot." Akabane hesitait a rejoindre le groupe quand il entendu une voix. Il sauta en arriere avant de voir que c'était Danzo.

"Sensei, qu'est ce que vous faites la?"

"Je protege le Daimyo." Dit il légerement et utilisa un sceau pour disparaitre.

'Ecouter aux portes c'est protéger maintenant?' Murmura t'il avant de se regonfler et s'en alla rejoindre les autres."

"Halte !"

"Qui etes vous?" Deux gardes l'arrêtèrent immédiatement.

"Kurama Akabane, Daimyo-sama m'a convoqué." Répondit il, irrité.

Les gardes reçurent le signal et le laissèrent passer.

Tsunade venait aussi d'arrivé, restant muette, assise a coté d'une autre fillette qui n'arrêtait pas de lui parler.

Entendant son arrivé, tout le monde se retourna vers lui.

"Akabane, tu es l'organisateur. Toi et Tsunade, prenez la princesse pour vous amuser." Dit Hiruzen.

"Tu peux les traiter comme ta famille. Demande tout ce que tu as envie d'acheter." Dit elle avec un sourire.

'Famille?Nous?'

La fille était surprise mais se tourna vers le Daimyo.

"Ojii-sama..."

"Vas y, avec leurs protection tu ne risque rien." Répondit il, souriant.

"Merci Ojii-sama !" La princesse était super contente et pris son départ sans demander son reste. C'était visible qu'elle n'aimait pas l'ambiance.

"Allons y." Dit Tsunade, souriante, gentille et plaisante. Ce sourire, doux et gentil, qu'elle a hérité de sa grand mere. Et tout le monde savait que cela signifiait que quelque chose de mal allait arrivé...

Akabane grommela, mais personne ne pouvait prendre sa place cette foi.